Je suis désolé, mais je pense qu'il faudrait arrêter de diaboliser la pédale de frein !!!
Freiner en B fera toujours récupérer moins d'énergie qu'un freinage à la pédale modulé avec discernement (sauf en dessous des 43 km/h compteur).
Ceci parce que les disques ne seront presque pas sollicités.
J'en veux pour preuve qu'à 105.000 km, avec environ 80% de déplacements urbains, mes disques avant ne sont même pas au mm d'usure, et les plaquettes sont à peine entamées.
Quant aux arrière... ben faut chercher le début d'usure !
Ceci en sachant que ma vitesse moyenne est d'à peine 20 km/h dans Bruxelles, ce qui veut dire que les disques sont plus souvent sollicités que ceux de quelqu'un qui fait majoritairement du péri-urbain et/ou de la route.
(Vu que beaucoup de phases de freinage en dessous de 12 km/h.)
Ceci dit, je reconnais qu'un freinage optimisé demande un sérieux entraînement, parce que deux facteurs entrent en jeu.
Il y a bien la profondeur d'enfoncement de la pédale, ça c'est facile à gérer, mais aussi la vitesse d'enfoncement.
A savoir qu'enfoncer la pédale de seulement 1 mm, mais trop rapidement (au goût de l'électronique), sera perçu comme un freinage d'urgence, avec comme conséquence une faible récupération d'énergie, les disques devenant prioritaires dans le ralentissement.
Il faut donc apprendre à enfoncer lentement et progressivement, tout en gardant à l'esprit qu'en procédant ainsi, on pourra enfoncer assez loin, tout en continuant à récupérer beaucoup d'ampères, et donc en épargnant les plaquettes.
Pour apprendre à maîtriser cela, il est indispensable d'utiliser une application tierce, qui permettra de visualiser l'importance de la récupération durant ces phases.
Il y a depuis longtemps le ScanGauge, mais à présent Hybrid Assistant permet également (entre autres) de vérifier en temps réel ce que l'on récupère.
Enfin en toute honnêteté, malgré la pratique, il m'arrive encore de louper un freinage de temps en temps...
Freiner en B fera toujours récupérer moins d'énergie qu'un freinage à la pédale modulé avec discernement (sauf en dessous des 43 km/h compteur).
Ceci parce que les disques ne seront presque pas sollicités.
J'en veux pour preuve qu'à 105.000 km, avec environ 80% de déplacements urbains, mes disques avant ne sont même pas au mm d'usure, et les plaquettes sont à peine entamées.
Quant aux arrière... ben faut chercher le début d'usure !
Ceci en sachant que ma vitesse moyenne est d'à peine 20 km/h dans Bruxelles, ce qui veut dire que les disques sont plus souvent sollicités que ceux de quelqu'un qui fait majoritairement du péri-urbain et/ou de la route.
(Vu que beaucoup de phases de freinage en dessous de 12 km/h.)
Ceci dit, je reconnais qu'un freinage optimisé demande un sérieux entraînement, parce que deux facteurs entrent en jeu.
Il y a bien la profondeur d'enfoncement de la pédale, ça c'est facile à gérer, mais aussi la vitesse d'enfoncement.
A savoir qu'enfoncer la pédale de seulement 1 mm, mais trop rapidement (au goût de l'électronique), sera perçu comme un freinage d'urgence, avec comme conséquence une faible récupération d'énergie, les disques devenant prioritaires dans le ralentissement.
Il faut donc apprendre à enfoncer lentement et progressivement, tout en gardant à l'esprit qu'en procédant ainsi, on pourra enfoncer assez loin, tout en continuant à récupérer beaucoup d'ampères, et donc en épargnant les plaquettes.
Pour apprendre à maîtriser cela, il est indispensable d'utiliser une application tierce, qui permettra de visualiser l'importance de la récupération durant ces phases.
Il y a depuis longtemps le ScanGauge, mais à présent Hybrid Assistant permet également (entre autres) de vérifier en temps réel ce que l'on récupère.
Enfin en toute honnêteté, malgré la pratique, il m'arrive encore de louper un freinage de temps en temps...