Contrat électricité -prix domestique KWh

Certes, il faut nous excuser, il y a quelques passionnés par les sujets énergétiques par ici :mrgreen-48:

Ceci dit tu as déjà eu pas mal de réponses à tes questions. Pour pouvoir répondre à tes interrogations sur des optimisations de tarification, il faudrait qu'on connaisse ton kilométrage annuel, ta consommation annuelle d'électricité, ton tarif au kWh...
En ce qui me concerne c’est tout récent mais ma consommation annuelle d’électricité est de 6500kw au tarif de 0,28 cts le KWh. En ce qui me concerne mon kilométrage annuel est de 12000 km
 
ce qui est équivalent à isoler une maison chauffée à l'électricité en consommation totale moyennée sur une année"
Bah oui, c'est comme l'éolienne qui alimente x milliers de foyers, c'est en moyenne sur l'année parce que les jours sans vent, il ne faut pas compter dessus. On masque cette situation embarrassante avec l'expression "fournit l'équivalent de la consommation en électricité de x milliers de foyers".
L'intermittent sur le réseau électrique, ça ressemble un peu aux voitures sans permis sur les nationales : ça force tous les autres à ralentir et ça n'économise pas grand chose.
 
Moi qui défends les enr on aura tout vu...
Le mec avec ses PV sur son toit réduira sa facture d'autant de kWh que leur production (multiplié par un facteur d'autoconsommation). Cette production effaçant celle qui aurait été nécessaire par un réseau centralisé pour lui fournir ce dont il a eu besoin sur une année.
Je vois pas le problème à partir du moment où on a intégré ces concepts. Les enr ne peuvent pas répondre aux appels de puissance, c'est pas fait pour, c'est pas pilotable, ça sert à rien de les comparer aux centrales classiques, on le sait.
 
Je vais tenter une dernière fois après quoi je laisse tomber, je ne crois pas qu'on doive se casser trop la tête là-dessus.

On se place dans un contexte où l'état va se mettre à taxer fortement les kWh dédiés à la recharge, pour compenser la baisse de revenu des taxes sur le pétrole. C'était le départ de la discussion.

Et dans cette situation, l'état subventionne à ceux qui ont probablement le plus de moyens une installation qui leur permet d'éviter de payer cette taxe. En générant leurs kWh et en faisant leur recharge en auto-consommation, comme on l'a suggéré plus haut, certains reçoivent donc de l'argent public pour leur permettre de réduire l'argent qu'ils vont rendre à la communauté. Par contre pour ceux qui n'ont pas la possibilité d'avoir des panneaux, souvent par manque de moyens, c'est double peine : tu participes aux subventions dont les autres profitent par tes impôts, et en plus tu paies tes kWh de recharge plein tarif, impôts inclus.

Il y a quand même un souci, non ? Ou alors ça ne dérange que moi ?
 
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Ce n'est pas si blanc/noir que tu le décris.
Car parmi tout ceux qui ont de faibles moyens, beaucoup habitent une maison à la campagne, et vont pouvoir placer des panneaux solaires.
 
Je trouve ça immoral, d'un point de vue individuel. Mais je crois que l'état n'a pas le choix.

Il a décidé d'investir dans le renouvelable PV, sur les toits des maisons.
A partir de là, ce sont les particuliers qui doivent le faire, car c'est leur toit.Ceux qui le font sont forcément ceux qui en ont les moyens. Et comme ils savent calculer un retour sur investissement, ils ne le feront que si c'est rentable pour eux, donc subventionné.

C'est la même chose pour les voitures hybrides, puis électriques : subventionnées par la collectivité pour que les plus aisés puissent payer moins de carburant, donc moins de taxes.
Mais une fois que le marché et la rentabilité existe, normalement les subventions disparaissent.
 
Car parmi tout ceux qui ont de faibles moyens, beaucoup habitent une maison à la campagne, et vont pouvoir placer des panneaux solaires.
Parmi ceux qui ont de faibles moyens, la grande majorité est locataire, en logement collectif, donc pas de panneaux solaires.
Pour les quelques qui sont propriétaires à la campagne, s'ils peuvent sortir plusieurs milliers d'euros pour installer des panneaux solaires, je ne les classe pas dans les "faibles moyens".
 
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En fait les hybrides sont subventionnées (ou l’étaient) non pas pour payer moins de taxes, mais pour réduire les émissions. Tu réduis de 20-30% les émissions des voitures en question avec une hybride par rapport à la voiture essence équivalente.

Pour les panneaux solaires, c’est beaucoup moins vrai. On ne décarbone pas grand chose avec du PV en France.
 
Je pense que l'idée de la politique en faveur des panneaux PV était aussi de réduire les émission de CO2...
 
C'était l'idée, mais ça ne fonctionne pas... En France le PV produit pile aux moments où la demande est la plus faible (beaucoup plus en été qu'en hiver, et infiniment plus à midi que le matin et le soir). Or le courant français est plus carboné aux moments où la demande est la plus forte (on démarre le charbon et le gaz hors cogénération à ces moments-là), et extrêmement bas carbone le reste du temps. Le photovoltaïque ne décarbone rien ; il est même probable qu'il augmente légèrement les émissions en ACV. Il faudrait une analyse détaillée mais l'ordre de grandeur est là.

Et pour un peu de détails, ce thread :


Le photovoltaïque c'est bien quand ton mix repose sur du charbon ou du gaz ; là, chaque kWh produit baisse les émissions par un facteur 10 ou 20. Sur un mix nucléaire+hydro, c'est au mieux inutile, au pire contre-productif.
 
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Concernant le manque à gagner de l’État, ce dernier n'a que l'embarras du choix:
Créer une taxe au kilomètre soit en utilisant des portiques, soit en relevant le compteur au contrôle technique ou lors d'une vente.
Créer une taxe progressive sur l'électricité pour encourager la sobriété énergétique et les économies d'énergie.


Les bonus et incitations fiscales en faveur des PV profitent principalement aux installateurs parce qu'il faut obligatoirement passer par eux pour en bénéficier.
 
Je trouve ça immoral, d'un point de vue individuel. Mais je crois que l'état n'a pas le choix.

Il a décidé d'investir dans le renouvelable PV, sur les toits des maisons.
A partir de là, ce sont les particuliers qui doivent le faire, car c'est leur toit.Ceux qui le font sont forcément ceux qui en ont les moyens. Et comme ils savent calculer un retour sur investissement, ils ne le feront que si c'est rentable pour eux, donc subventionné.
Franchement je vous propose de faire vous-mêmes le calcul: les PV n'ont pas ou plus besoin d'être subventionnés pour être rentables. Une étude que j'ai faite pour chez moi m'indiquait un retour sur investissement en 11 ans, 13 ans si on retire les subventions (380 euros x kWc, si kWc <= 3, soit 1140 euros de subventions, pour un coût total d'installation de 8500 euros). Alors OK j'habite dans le sud mais ça ne change pas grand chose au raisonnement, puisque les 2 durées seront rallongées avec le même facteur.
Donc comme déjà dit à Foluxo, je suis même pour supprimer ces subventions. Comme ça on serait tous d'accord.
 
Je rejoins R Ravichou ...
Pour info, dans ma config de 22 PV, le cout des panneaux ne représente que 30% de la facture. On ajoute la quincaillerie de fixation, l'onduleur, les frais d'installation, de consuel etc...
 
...

Le photovoltaïque c'est bien quand ton mix repose sur du charbon ou du gaz ; là, chaque kWh produit baisse les émissions par un facteur 10 ou 20. Sur un mix nucléaire+hydro, c'est au mieux inutile, au pire contre-productif.

Hello.
Le mix en France ne repose pas que sur nucléaire+hydro. Pour moi il est très clair qu'il faut aussi du gaz pour assurer la régulation conso/prod. C'est pas nouveau.
Parce que l'hydro n'a pas assez de puissance pour répondre aux besoins, même si on ouvre les vannes de tous les barrages, une fois deux fois et puis...
Avec le nuc il faut éviter de s'en servir pour réguler, éviter les rapides variations (je détaille pas, en résumé osé disons que c'est parce que les réacteurs nuc ne sont pas de simples machins thermiques, c'est pas une bête oxydation). Donc on peut les utiliser en régulation mais plus lente que les besoins.
Donc il y a du gaz. Ca se pilote pas mal et permet de répondre aux 3 moments chauds de la journée
en premier la matinée en semaine où il y a une montée rapide de la puissance pendant plusieurs heures, c'est même à mon avis le moment le plus dur à passer
en 2ème la pointe de 12-13 h qui correspond toujours à celle du photovoltaïque, c'est astronomique
en 3ème la pointe de l'hiver de 19h, courte mais avec une montée raide un peu comme le matin.

Là dessus cet hiver il y a aussi du charbon et un poil de fuel, à cause d'un maque en prod de base disons neutronique ...

On peut comparer entre avant la présence de panneaux solaires et après.
Et là on constate que cet hiver il y a une baisse du contenu en CO2 du mix énergétique en milieu de journée, très très souvent.
Le solaire photovoltaïque est pourtant capricieux, le ciel, tout ça. Mais il est régulier, la pointe c'est en milieu de journée et le creux c'est la nuit, toute la nuit.
Ca c'est pour un pays. Stocker les bons jours pour utiliser les mauvais relève aujourd'hui du rêve, c'est gigantesque. Déplacer certains consommateurs c'est possible (genre tarif heure-creuse/pleine) mais c'est limité. Donc aujourd'hui, pas tout seul et pas trop, en France. <- à étudier pays par pays.

Pour un particulier c'est pas pareil.
Car selon mon avis il faut bien distinguer le solaire national (où on voit même des dérives genre je rase une forêt pour mettre des champs de panneaux, mais quand même moins de dérives que l'éolien) avec le solaire d'une maison individuelle. SI c'est national, la motivation va être financière, personne n'est impliqué à titre perso. Si particulier, certains vont ainsi se rendre compte de leur consommation et la réduire. De plus ils pourront déplacer certains consommateurs quand il y a production, certains sont très déplaçables, d'autres moins et d'autres pas du tout.
Par exemple un ballon d'eau chaudes est déplaçables, sa température servant de curseur (c'est notre cas). So pilotage est possible car faisant partie de l'installation. Pour d'autres le VE sera déplaçable partiellement, le niveau de charge de leur batterie peut varier sans inconvénient (c'est notre cas).
Il est aussi possible au niveau particulier de stocker dans des batteries (par ex issues de VE, c'est notre cas), ce qui est archi impossible au niveau d'un pays.

Le bilan carbone, si panneaux issus d'un pays à faible carbone comme la France est inférieur au mix (et encore plus pour un sacré moment en France, le mix va se dégrader)
Ces multiples productions vont réduire la conso sur le réseau, à priori sur les producteurs de pointe l'hiver. Car le bilan carbone clairement augmente vite quand on dépasse la production des centrales bas carbone.

Concernant le manque à gagner de l’État, ce dernier n'a que l'embarras du choix:
Créer une taxe au kilomètre soit en utilisant des portiques, soit en relevant le compteur au contrôle technique ou lors d'une vente.
Créer une taxe progressive sur l'électricité pour encourager la sobriété énergétique et les économies d'énergie.


Les bonus et incitations fiscales en faveur des PV profitent principalement aux installateurs parce qu'il faut obligatoirement passer par eux pour en bénéficier.

Oh que oui, Il y a une douzaine d'années, quand on a fait poser des panneaux sur le toit de notre maison, j'avais comparé la pose par des professionnels subventionnés avec la pose personnelle, j'avais obtenu exactement le même prix. 100% de la subvention allait chez le pro, et même plus il avait une TVA réduite, lui. Pire il fallait obligatoirement poser en intégration, ce qui est idiot du point de vue thermique. Là dessus les panneaux devaient être neufs ? glups ?

Aujourd'hui le prix des panneaux et des onduleurs s'est écroulé. Je viens de voir un kit complet à poser en superposition de toiture, 3,2 kWc, 3kW d'onduleur à 2300 € TTC, panneaux de marque Française. Faut ajouter éventuellement le raccordement si pas auto-prod avec export de l'excédent et le consuel.
Autrement dit avec 3000 kWh/an pessimiste par exemple c'est vite amorti, moins de 5 ans à cout d'électricité actuel qui, souvent, varie.
Mais il faut poser soi-même et donc être à l'aise sur un toit, avec le câblage et la réglementation. Ceci dit il est possible d'avoir des panneaux au sol et des micro-onduleurs, c'est plus simple.

A+
 
Dernière édition:
planetaire planetaire on est d'accord sur l'essentiel de ton message.
On peut comparer entre avant la présence de panneaux solaires et après.
Et là on constate que cet hiver il y a une baisse du contenu en CO2 du mix énergétique en milieu de journée, très très souvent.
Là-dessus t'as des chiffres ? Pour situer, il me semble que l'Ademe chiffrait à 15 millions de tonnes de CO2 gagnées en Europe, et 5 millions en France, chaque année, grâce à l'éolien. Si on excepte le fait que c'est totalement con de décarboner le mix allemand avec de l'argent français, ça reste une bonne chose pour la planète. Ca met aussi la tonne de CO2 évité à un coût très élevée pour les finances publiques, mais soit. Par contre je ne trouve absolument pas de chiffre pour le PV en tonnes de CO2 évitées.
 
En France le PV produit pile aux moments où la demande est la plus faible
Entièrement d'accord. J'ai une installation PV et ma courbe (annuelle et journalière) de production et de consommation évoluent quasiment en sens inverse.
Si je n'injecte pas sur le réseau je perds quasiment la moitié de ce que je produit. En injectant sur le réseau, je revends à un tarif fixé et subventionné.

Je maintiens que si on ne fait qu'autoconsommer on n'est pas rentable. et si on réinjecte on est subventionné.
R Ravichou , comment fais-tu pour autoconsommer les journées d'été où tu produis quasiment ta puissance crête pendant la majeure partie de la journée ?
 
planetaire planetaire on est d'accord sur l'essentiel de ton message.

Là-dessus t'as des chiffres ? Pour situer, il me semble que l'Ademe chiffrait à 15 millions de tonnes de CO2 gagnées en Europe, et 5 millions en France, chaque année, grâce à l'éolien. Si on excepte le fait que c'est totalement con de décarboner le mix allemand avec de l'argent français, ça reste une bonne chose pour la planète. Ca met aussi la tonne de CO2 évité à un coût très élevée pour les finances publiques, mais soit. Par contre je ne trouve absolument pas de chiffre pour le PV en tonnes de CO2 évitées.
Oui, par exemple hier selon RTE (qui sous-estime le contenu carbone comparé à electrictymap), le kWh était à plus de 70 gr/kWh le matin, et il a baissé à moins de 50, alors qu'on n'est pas sur un des deux creux de conso journalière (fin de nuit et après midi), sans doute les repas.:bd:
C'est assez normal, la baisse de production bas carbone depuis cet automne/hiver amène à utiliser des compléments thermiques, dès qu'un plus bas carbone produit, le mix baisse. Ca a été le cas ces derniers jours avec les dépressions qui sont passées sur une large partie du territoire.
Ceux qui tiennent compte de ce facteur ont pu recharger leur VE à bloc ou leur ballon d'eau chaude ou fait toutes leurs lessives :cool2:, par exemple.

A+
 
Je parlais en chiffres globaux, c'est impossible de conclure sur des données instantanées ; d'autant plus qu'entre ce matin et maintenant tous les autres moyens ont du bouger aussi, pas juste le solaire.

Après vérification : mes chiffres (5 millions + 17 millions de tonnes de CO2 évitées pour être précis) sont en réalité pour solaire+éolien ensemble, selon la page 163 du rapport RTE 2019. Il n'y a nulle part de séparation entre les apports de l'un et de l'autre. Ma confusion venait du fait que j'avais cru le lobby de l'éolien qui eux donnent ces mêmes chiffres pour l'éolien seul (en citant RTE, parce qu'il ne faut pas avoir honte).

Du coup je fais un calcul de coin de table : en 2019, 35 TWh d'éolien à 13 g CO2 et 12 TWh de solaire à 55g CO2. Le solaire représente donc 25% du mix solaire+éolien, et ce sont 25% qui sont 4 fois plus carbonés que le reste... Sur les 5 millions de tonnes évitées en France par solaire+éolien, le solaire ne doit représenter quasiment rien.

Merde alors, finalement le lobby de l'éolien avait raison : c'est eux qui font l'essentiel du faible résultat :mdr:
 
Calcul pour calcul.
Si on prends les chiffres de RTE, le bilan 2021 a été de seulement 34 gr/kWh.
J'avais utilisé les données de l'ademe pour calculer le bilan de nos panneaux : 35 gr:kWh (30 les panneaux Français et 5 l'onduleur mic). 55 il doit y avoir du chinois dans les panneaux.
Bilan : inutile de mettre du solaire pour nous ?
Avoir le même bilan relève alors d'un choix avec d'autres critères.

Sauf que les chiffres de bilan carbone de RTE sont sous-évalués (cf electricitymap où je lis souvent 10, 20, 30 gr/kWh de plus) Par exemple en instantané on est à 66 sur RTE et 95 gr/kWh sur EM.

Et de toute façon je ne vois pas trop l'intérêt de comparer un mix avec une source isolée, variable et très insuffisante actuellement pour notre pays, solaire ou autre. Ce qui aurait été intéressant c'est de comparer deux scénarios, deux mix.
L'un est le résultat d'un pilotage annuel, l'autre pas. Il y a aussi de gros contrats d'achats/vente dont je n'ai pas le détail et que je soupçonne d'intervenir sur les pilotages.

A+
 
Entièrement d'accord. J'ai une installation PV et ma courbe (annuelle et journalière) de production et de consommation évoluent quasiment en sens inverse.
Si je n'injecte pas sur le réseau je perds quasiment la moitié de ce que je produit. En injectant sur le réseau, je revends à un tarif fixé et subventionné.

Je maintiens que si on ne fait qu'autoconsommer on n'est pas rentable. et si on réinjecte on est subventionné.
R Ravichou , comment fais-tu pour autoconsommer les journées d'été où tu produis quasiment ta puissance crête pendant la majeure partie de la journée ?
Ballon d'eau chaude, recharge de VE, cuissons, machines, pompe de piscine, pompe à chaleur... c'est pas les consommateurs, en journée, qui manquent. Chez moi on est full électrique pour tous les usages (enfin sauf qu'on n'a pas encore de VE).

Mais parlons du sujet évoqué en creux, la revente à tarif fixe dit subventionné. Actuellement le tarif sur les contrats de revente de 20 ans est de 10 centimes/kWh. Avec la dernière hausse du prix de l'élec les consommateurs particuliers vont payer dans les 17,5 centimes/kWh. Alors je sais qu'on paye aussi la distribution, les infras, etc, mais je me demande à quel niveau les 10 centimes obtenus à la revente sont subventionnés par la collectivité... puisque ces kWh seront obligatoirement revendus sur le réseau, potentiellement à 17,5 cents à des particuliers ? Et notons également que le prix de l'électricité va continuer à augmenter, alors que le prix de revente reste fixe, lui.
 
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