Je pense que sur ce coup YD est victime du grouillot qui rédige ses tweets, et qu'il va devoir se fendre d'un rectificatif car effectivement il a bien dit ce que cite
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Ravichou, j'ai écouté le débat en direct.
Tiens, ça c'est intéressant: d'où vient l'uranium que l'on importe ?
Au travers d'Orano (anciennement Areva) le Niger fait parti des fournisseurs. Globalement on n'est pas dépendant du Niger mais de l'ensemble des pays producteurs, c'est entre autres pour ça qu'on devrait se manier de développer la 4ème génération de réacteurs. Yannick Jadot à visiblement un cerveau qui fonctionne comme les ENR, par intermittence...Bon, donc le mensonge était différent : on ne dépend absolument pas des importations du Niger pour l’uranium…
Je pense que sur ce coup YD est victime du grouillot qui rédige ses tweets, et qu'il va devoir se fendre d'un rectificatif car effectivement il a bien dit ce que cite R Ravichou, j'ai écouté le débat en direct.
Ah bon ?Ce n'est pas une dépendance parce qu'on a 3 à 5 ans de stock en France, de quoi trouver d'autres fournisseurs en cas de besoin, et il y en a dans quasiment toutes les régions du globe.
Ou alors on considère que tout produit importé est une forme de dépendance, et dans ce cas on est dépendant pour tout. Et dans ce cas, les EnR que tu cites sont tout aussi dépendants des imports, que ce soit pour acheter des produits tout faits, ou pour les matières premières si on décidait d'en fabriquer.
LienIl n'est donc pas surprenant que le GIEC prévienne également que retarder les mesures d'atténuation maintenant est une mauvaise idée qui entraînera des coûts d'intervention plus élevés plus tard. Mais même si nous n'attendons pas, les coûts de l'action peuvent encore varier considérablement, en fonction des options énergétiques que nous choisissons. Dans le contexte des sources d'énergie à faible et zéro émission de carbone, par exemple, le rapport fait référence à l'énergie nucléaire et au captage et au stockage du carbone (CSC) en plus des énergies renouvelables. Toutefois, elle souligne que l'énergie nucléaire est coûteuse et présente de nombreux risques, que le CSC relève plus de la théorie que de la pratique et qu'il n'a pas été testé à grande échelle - des obstacles majeurs auxquels le secteur des énergies renouvelables, mature et en pleine expansion, n'a pas eu à faire face.
Pour moi, cette saillie a définitivement caractérisé le personnage :Sacré Yannick, il n'en rate jamais une...